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- Le chocolat est toxique pour les chiens et les chats. Il est à l’origine de troubles digestifs, cardiaques, respiratoires et neurologiques qui peuvent être mortels. 200 grammes de chocolat noir peuvent suffire à tuer un petit chien.
- Le raisin : La consommation de raisins par nos animaux de compagnie entraîne des troubles rénaux non négligeables, elle peut être à l’origine d’insuffisance rénale aigue. Et ceci quelle que soit sa présentation, qu’ils soient frais ou secs.
- Le lait de vache :Il provoque des diarrhées chez les jeunes comme chez les adultes. Il n’est pas du tout adapté aux besoins du chiot ou du chaton, car trop pauvre en acides aminés notamment.
- L’oignon, l’ail, ciboulettes : Ils sont également toxiques pour le chien surtout, mais aussi chez le chat. Ils provoquent des anémies, c’est à dire une diminution du nombre de globules rouges dans le sang.
- Le sucre et les gâteaux : Ils sont à l’origine de troubles digestifs, d’indigestion et peuvent donc provoquer des diarrhées et vomissements. Mais ils entraînent aussi surtout une prise de poids conséquente et donc un risque d’obésité accru.
- Alimentation trop riche en viande et sans compléments minéraux : Une telle alimentation peut être à l’origine de déséquilibres voire d’excès ou de carences en minéraux. Les restes de table : Nous ne mangeons pas la même chose que nos animaux de compagnie, leurs besoins sont tout à fait différents des nôtres. Leur donner nos restes de table, qui peuvent justement contenir des oignons, du chocolat ou d’autres aliments à proscrire de leur régime, peut s’avérer très néfaste pour eux. Cela peut entre autre provoquer des troubles de peau et du pelage, de la diarrhée, des carences ou encore des excès.
- Variation d’alimentation : Il ne faut surtout pas se dire, que comme nous, les chiens et chats préféreraient manger autre chose chaque jour, pour varier leur repas. Au contraire, leur système digestif est conçu pour digérer à peu de choses près, toujours la même chose. Modifier sa ration tous les jours, sans faire la moindre transition alimentaire (qui se fait sur minimum deux semaines) provoquerait des indigestions, diarrhées et flatulences.
